La Valse de Minuit
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De sang ou de glace, le cœur ne résiste pas.
 
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 Ezra Fitzgerald [Validé]

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AuteurMessage
Ezra Fitzgerald
Vampire
Ezra Fitzgerald


Statut : Membre
Présence : Prêt pour la chasse
Messages : 10

Métier : Étudiant, écrivain & pianiste
Statut Marital : Célibataire
Statut Social : Bourgeoisie
Âge RPG : 24

Ezra Fitzgerald [Validé] Empty
MessageSujet: Ezra Fitzgerald [Validé]   Ezra Fitzgerald [Validé] Icon_minitimeDim 5 Avr 2015 - 15:56


   
Ezra Fitzgerald

   
   
24 ans ▬ 24 ans et un jour ▬ Étudiant, écrivain & pianiste ▬ Bourgeoisie ▬ Célibataire ▬  Ian Harding

   
   
I live   Caractère et Physique
   "Imagination is more important than knowledge."
   
   
   
Caractère

Jeune homme à doux caractère, Ezra est passionné de littérature et d'écriture depuis son plus jeune âge. Seulement vingt-quatre ans et étudiant en anglais il peut passer ses journées et ses nuits entières plongé dans ses livres, totalement perdu entre la réalité de ce monde et son irréalité à lui. En plus d'être écrivain, il a un goût raffiné pour la musique, plus particulièrement pour le piano. Il possède de longs doigts fins et son talent  de pianiste ne reste pas inconnu à Londres. De nature assez méfiant, Ezra à tendance à prendre du temps avant de partager ses sentiments. Il n'a confiance qu'en lui et ne parvint à croire les gens que très peu de fois ce qui peut le faire passer comme pour un égoïste. Mais, à de très rares moments en compagnie des personnes auxquels il tient, il s'avère être d'une gentillesse incroyable et sa sensibilité à tendance à émouvoir. Néanmoins, derrière tout son fond calme et posé, par peur d'être blessé Ezra n'en fait qu'à sa tête. En effet il n'est pas du genre à croire facilement ce qu'on lui dit, car il juge qu'il est toujours préférable de s'écouter lui-même plutôt que de plonger dans la bêtise avec les autres.

Vu comme le gars charmant et mystérieux, ses belles prunelles aussi noires que ses cheveux en font tourner plus d'une. Lorsqu'il n'est pas occupé à écrire, il aime courtiser les jolies femmes. Sa chevelure de jais et sa voix grave ont tendance à les envoûter telle une douce mélodie. Bienveillant, indulgent et attentionné, il peut se révéler aussi très dangereux depuis qu'il est vampire. Certes, dragueur, il aime finir la nuit avec un bon repas dévoré dans son lit, mais encore tout nouveau dans son état, il a tendance à devenir fou et incontrôlable. Au début de sa transformation, Ezra à un mal fou à comprendre ce qu'il est devenu. Il essaye de se tuer, totalement désespéré par l'homme inconnu qu'il est devenu, mais en vain, il ne peut pas mourir comme les humains. Fort et musclé, le fait d'être un prédateur l'a rendu encore plus rapide qu'il ne l'était et commence plus vite qu'il ne le pense à prendre goût à ses avantages.

Mais comme tous les hommes et les vampires, Ezra toujours en quête de toujours plus, son orgueil et sa méchanceté font surface. Trop fier, la prétention va aussi naître chez lui, sentiment qu'il a toujours méprisé. Par la suite, la folie va parfois le surprendre, car il va devenir accro au sang et aux corps féminins. Tantôt déchiré par le monstre qu'il est devenu et le jeune homme doux, Ezra va s'engager dans une lutte continuelle entre ses deux personnalités. De nature gentille, contrôlé tous ces nouveaux sentiments s’avéreront être un défi pour lui. Il va à la fois adoré et haïr les beaux traits fins de son visage qu'il verra se transformer pendant la nuit en un monstre tout à fait sanguinaire et affamé. Ezra adore le pouvoir qu'il obtient et deviendra de plus en plus avide. Torturé, il ne sait plus vraiment où donner de la tête.
   
   Physique
   
    Plutôt grand brun au visage d'ange, les gens pensent que je suis tout à fait gentil et inoffensif. Oui, je l'étais avant... mais, les apparences sont trompeuses...

Depuis que je suis un vampire, mes un mètre quatre-vingt me permettent de courir des longues distances sans ressentir le moindre épuisement. J'ai appris également à être encore plus endurant. Je suis assez fort et musclé et je sais très bien manier l'épée et la dague. Mes yeux noirs attisent la curiosité des demoiselles et j'aime prendre plaisir à les envoûter par mes diverses charmes de garçon sexy ou bien de jeune homme romantique et artistique. Mon visage peut être doux lorsque je suis attentionné et à l'écoute mais, il peut aussi se transformer en quelque chose de plus inquiétant. Lorsque mon expression se durcit, que mes yeux se froncent et que mes mains se serrent il vaut mieux s'éloigner de moi. J'ai beau être calme mais, depuis ma transformation la patience n'est plus ma plus grande vertu. Mes cheveux sont aussi noirs que le jais et très doux au toucher. Ma peau est fine et mon corps attirant laisse entrevoir cette perfection inquiétante de vampire. Ma voix grave et mon rire cristallin font souvent sourire à cause de son effet séduisant. J’apparais souvent comme le jeune étudiant sérieux, concentré et passionné par ses lectures. Je m'habille souvent avec des couleurs classiques tels que le noir, le gris et le blanc car se sont celles qui mettent le mieux en valeur mon teint clair. Lorsque je souris, mes dents parfaitement blanches et ma petite fossette sur la joue droite en laisse plus d'une rêveuse. En bref, mes imperfections ne se trouvent pas dans mon physique, mais plutôt dans mon caractère.



   
   
Before   Histoire
   La tête dans les étoiles ...
   
   


Je ne sais pas ce qu'il m'arrive. J'entends tout autour de moi. Ma fenêtre est fermée mais, je parvins tout de même à entendre les oiseaux qui se trouvent à l'autre bout de la Tamise. Je ne sais pas ce qui cloche chez moi, mais je ne me sens pas dans mon état normal. Le soleil me brûle dès que je fais un pas vers le jour et mes dents semblent vouloir dévorer bien plus que du simple pain chaud. Je me regarde dans le miroir et tout ce que je vois est un étranger. Un étranger beaucoup plus beau qu'autrefois. Mais, il m'effraye, il me dévisage d'un air assassin avec ses yeux sombres et perçants. L'on dirait qu'il est prêt à me dévorer. Il me terrifie. Il est pâle comme la mort. Je suis seul et j'ai faim. Je veux sortir mais, je n'ose pas. J'ai mal. J'ai faim. Je ferme les yeux et tout ce que j'aperçois est une rivière de liquide rouge. Du sang, du désir. Je tressaille devant mon miroir. Que suis-je devenu ou que suis-je en train de devenir ? J'ouvre la bouche pour parler. Des sons doux et apaisant sortent. C'est bien ma voix mais, elle a changé. Ce n'est pas la transformation du jeune adolescent non, c'est autre chose, c'est différent... cette voix, mon rire... un son cristallin qui berce. Étrange. Je retire ma chemise de coton et mes yeux s'écarquillent de surprise. Je n'ai plus du tout de cicatrice. Où sont-elles passées ? Sous mes doigts fins ma peau est devenue toute lisse sans aucune imperfection. Suis-je au paradis ?

BAM. Tout à coup des souvenirs me reviennent. Mon crâne se déchire très vite et je me plie en deux. Les émotions sont violentes. Je me revois la veille. Cet Ezra familier mais, à la fois devenu du passé.

* * *

Cette nuit là, la dernière de ma vie, j'étais loin de me douter que c'était ma dernière en tant qu'être humain. Tout se passait pour le mieux, j'étais parti à la bibliothèque toute la journée et j'étais rentré comme tous les soirs chez moi, épuisé. Ma vie avait toujours été simple. J'avais sempiternellement rêvé de m'évader à travers mes livres et les faire partager au monde entier, puis de briller sur scène le soir. Des projets, oui, j'en avais plein la tête, toujours les mêmes depuis si longtemps. Mon passé de petit enfant ? Je ne m'en rappelais pas vraiment. Orphelin, mes parents étaient morts lorsque je n'avais que dix ans et j'avais été recueilli par une famille bourgeoise. La littérature s'était alors avérée d'une si grande aide d'espoir contre le chagrin, tandis que mes talents de pianiste et d'écrivain m'avaient permis d'être digne du titre que ma famille d'accueil m'avait donné en m'adoptant. J'étais devenu un Fitzgerald. Ces gens-là étaient à l'origine de mon bonheur et de mes talents. J'étais devenu assez riche et connu dans Londres. Je n'avais aucune crainte de ma vie future, car optimiste de nature, je ne voyais que le bons côtés.

Mes études d'anglais me prenaient tout mon temps libre, mais j'étais passionné par les lettres. Plongé dans l'obscurité de la pièce, ma main continuait encre et toujours d'écrire. Cette fois-ci je n'étudiais pas mais, je finissais mon poème que j'avais commencé la veille. Je pouvais entendre le crissement de ma plume sur le parchemin. Ma bougie m'éclairait et j'étais seul. Puis, épuisé, je me mis à bailler. J'en avais trop fait aujourd'hui, je devais me détendre. Je voulais me changer les idées. Enfin décidé, je me levai avec entrain et enfilai déjà mon grand manteau noir et sorti. La fraîcheur de la nuit me fit sourire. La ville était encore éclairée et un sentiment de bien-être s'installait. Londres, toujours aussi magnifique. Peu à peu, désireux de me retrouver encore seul avec moi-même, je m'aventurais un peu plus loin quittant peu à peu les lumières des rues. Je marchais dans les rues sombres et imaginant déjà la musique, les rires et les plaisanteries des cabarets, j'accélérais le pas. J'étais arrivé à peu près au milieu du chemin, sous les ponts. Je me mis à rire. Toute la ville faisait passer des rumeurs horribles à propos de gens retrouvés morts sous les ponts. Des meurtres, disait-on. N'importe quoi, pensais-je aussitôt. J'y passais tous les soirs et il ne m'était jamais rien arrivé. ''Il faut rester chez nous la nuit et ne pas bouger !'' Ne pas s'amuser ? Non, jamais. Les rumeurs restaient des rumeurs. Les gens aimaient bien faire peur aux autres. J'étais peut-être seul mais, je savais que si j'avais affaire à un meurtrier je saurais très bien me défendre. L'art de l'épée et de la dague me connaissaient à la perfection. Tout fier, j'étais heureux de me rendre à mon endroit favori du soir. La route que j'aimais emprunter était sinistre et longue. J'aimais bien car cela m'évitait de passer dans les endroits trop connus et trop bondés. Au loin, j'admirais ce paysage si familier mais, si envoûtant. Les toits des maisons et les branches des grands arbres se dessinaient dans la nuit. Tout le monde était plongé dans un sommeil bien profond à cette heure-ci et je me sentais enfin libéré. Passer sa journée dans les livres m'était bien plaisant mais, épuisant aussi. Perdu dans mes pensées, j'avançais encore sur le chemin étroit. Tout à coup des petits pas me tirèrent de ma rêverie. Quelqu'un me suivait. Délirais-je jusqu'à m'en imaginer des trucs ou bien était-ce juste le vent ? Non, j'avais bien entendu des crissements. Je me retournai.

- Il y a quelqu'un ?, fit-ma voix pas très sûre.

Personne. Les bruits s'étaient arrêtés. D'accord, j'avais rêvé. Je repris cette fois-ci ma route mais, avec un peu plus d'entrain. Je voulais arriver au plus vite à l'auberge, ce petit endroit éclairé et chaleureux. Mais les pas reprirent et lorsque je m'arrêtai, ils continuèrent. Tremblant, je portais déjà ma main à ma ceinture pour toucher mon épée. Je la dégainai.

- Montrez vous !, menaçai-je.

Mais à peine que j'eus dit cela ma respiration se coupa net. Impact. Ma tête et mon dos avaient heurtés avec violence le mur dur et froid. Je ne pouvais plus respirer. Paniqué mais, encore sonné je voulais bouger, mais quelqu'un me tenait fermement contre ce mur. Je ne pouvais pas faire un geste. Je voulais crier mais, une main posée sur ma bouche m'en empêchait. J'allais étouffer. Je voulais partir. Que m'arrivait-il ? Et puis tout à coup, un cri aussi puissant soit-il sortit de ma gorge. Je crus que j'allais me déchirer les cordes vocales. Une brûlure atroce me dévorait le cou. Quelque chose s'était planté dans ma chair et le feu m'envahissait. La chose -aussi vite qu'un éclair qui frappait le sol- me lâcha et je retombai par terre, misérable et hurlant. J'allais mourir. Je portai la main à mon cou par réflexe et tout ce que je sentis fut un liquide chaud dégouliner. Du sang. En moins d'une minute, je m'étais fait attaquer à cause de mon imprudence, cette fois-ci impardonnable. L'enfer m'emportait dans ces flammes de dévorant la peau petit à petit avec férocité. J'étais en train de brûler.

* * *

Même cette cicatrice a disparu. Ai-je rêvé ? Où étais-je la nuit dernière ? Dans mon lit ou bien près de la Tamise ?

TOC TOC.

Je sursautai. Quelqu'un frappait à la porte. Que fallait-il que je fasse ? Allait-on m'aider ? Oui, je devais ouvrir cette porte et laisser entrer la personne. J'étais resté toute ma journée cloîtré, incapable de pouvoir sortir au soleil. Avide d'obtenir de l'aide, je fis quelques pas et d'un geste très lent, je posai ma main sur la poignée et l'actionnai. Un visage familier apparut alors devant moi. Ma jolie voisine.

- Ezra ?, appela-elle. Je peux entrer ?

Alors que je m'apprêtais à répondre oui, mon corps bascula en avant, pris de soudain désir incontrôlable. Aussitôt que mon regard eut croisé le sien, je dérapai. Trop tard. J'étais déjà sur elle. Elle sentait si bon et avec force mes dents allèrent à l'encontre de son cou et un hurlement comme le mien la veille ressortit. Elle se débattait mais j'étais bien plus fort qu'elle. Le liquide qui coulait dans ma bouche était succulent, si succulent qu'il m'était impossible de penser à autre chose. J'oubliais déjà ses cris et ses pleurs, son corps qui se débattait sous le mien devenait de plus en plus faible et je n'eus aucun mal à la maîtriser. Ce goût... il m'envahissait, la chaleur me revenait. Je continuais, prêt à gémir de plaisir. Tandis que mes lèvres sur son cou la vidait, je la serrai encore plus contre moi, désireux d'en avoir encore plus. Je continuai jusqu'à la dernière goutte. Quand je me rendis compte qu'il ne restait plus rien, la fille tomba au sol. Je le regardai, m'essuyant la bouche. J'avais tâché ma chemise. Qu'avais-je fait ? Qu'étais-je devenu ? Pourquoi l'avait-je tué ? Ce n'était pas moi ! L'on avait prit possession de mon corps ! Je me laissai tomber moi aussi à terre, misérable. Qu'étais-je ?

Gisant à côté de la jeune femme, j'étais loin de me rendre compte à cet instant-là que j'étais devenu la créature la plus horrible de l'univers. Un vampire.



   
   
Mon prénom est Marine, j'ai 17 ans et je suis disponible là au moins quatre fois par semaine mais, je fais de mon mieux en période scolaire. J'aime l'écriture, la musique et les séries et j'apprécie mois ...je sais pas. J'aimerai ajouter que ce fofo à l'air génial, merci The Maze Runner !

   
   © Halloween de Never Utopia

   
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